Notre Maison porte chacun de ses restaurants avec un même engagement : promouvoir la richesse des terroirs français en y apportant la puissance de la terre locale qu’est la nôtre. L’Isère, l’Oisans et par-delà les sommets, les Alpes, et la diversité de leur flore et de leurs élevages.
"S’inspirer de la nature pour vous offrir une expérience culinaire authentique, dans un esprit convivial, en veillant au souci du détail."
La Ferme d’Hubert évolue au fil de la journée pour offrir une expérience unique à chaque instant. À midi, elle se transforme en un véritable restaurant d’altitude, où les skieurs et randonneurs peuvent savourer des plats réconfortants sur une magnifique terrasse en rooftop baignée de soleil. Le soir, La Ferme d'Hubert vous accueille autour d'une table gastronomique, célébrant la cuisine alpine avec raffinement et créativité, dans une ambiance feutrée et élégante.
L’Espérance propose une cuisine généreuse et identitaire ; des saveurs d’antan sublimées avec modernité. Elle s’inspire de la cuisine originelle, de celle qui puise dans la richesse d’un patrimoine culinaire unique en y apportant l’élégance et l’exigence de la bistronomie. Pensée comme une ode au terroir français, L’Espérance vous invite à vivre une expérience culinaire authentique et contemporaine.
Les Mas’Hauts, petits chalets de bois et de verre installés sur la terrasse de L’Espérance, sont inspirés des mazots savoyards utilisés par nos ancêtres comme garde-manger. Ils servaient à conserver les salaisons, céréales et autres vivres permettant de tenir le temps d’hivers très rigoureux.
De ces mazots, nous avons souhaité conserver l’esprit montagnard, vous invitant à une vivre une expérience authentique modernisée, chaleureuse et gourmande.
C’est au cœur de notre Maison que se retrouvent résidents et visiteurs. Comme un passage évident, il invite à la convivialité, à la douceur de vivre, à la gourmandise ; du café du matin, au goûter, à l’heure de l’apéritif. Aux Grands Rouges se meut au fil des heures, emportant avec lui les lueurs extérieures. Comme un écho à son décor cuivré qui rappelle la dolomie, roche faisant rougeoyer les sommets, à qui le massif des Grandes Rousses doit son nom.
